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L’Homme (Man, Three Disks en anglais) est une sculpture monumentale en acier inoxydable située à l’île Sainte-Hélène au parc Jean-Drapeau à Montréal, Québec, Canada.
L’œuvre fut créée par l’artiste américain Alexander Calder à l’occasion de l’Exposition universelle de 1967. Elle est un don de la société International Nickel Company of Canada pour l’Exposition universelle.
Centre culturel et du patrimoine Uplands.
Logé dans une maison néogéorgienne bâtie en 1862, le Centre culturel et du patrimoine Uplands est un organisme à but non lucratif, entièrement voué à la préservation, à l’appui et à la diffusion des traditions culturelles et historiques des Cantons-de-l’Est. Son ambiance accueillante et chaleureuse reflète un style de vie d’une époque passée. Cinq pièces y ont été aménagées d’antiquités appartenant à la Société d’histoire et au musée de Lennoxville-Ascot. Le Centre occupe un terrain de 4 acres recouvert en partie de jardins magnifiques et de boisés.
Le thé selon la tradition anglaise est servi à l’intérieur, sur la véranda ou dans le jardin au gré des saisons. Au menu : thé, scones, pâtisseries, sandwiches aux concombres, confiture, crème Devonshire et plus. Délicieux!
Onze mois sur douze, le centre présente des expositions mettant en vedette des artistes locaux et régionaux en plus d’offrir au public des ateliers d’art et d’artisanat ainsi que des concerts.
HISTORIQUE
Le 22 mars 1913, monsieur Benjamin Cate Howard, le père de Charles, acquiert une certaine partie de terrain de la British American Land Co. qui à l’époque possède encore une bonne partie des terres comprises dans les « Eastern Townships ». Le terrain en partie boisé, couvrait une superficie d’environ 588,152 pieds carrés. Ces terres allaient devenir le futur site du Parc du Domaine-Howard. Les somptueuses résidences furent construites entre 1917 et 1923, quatre ans après l’achat de ces terres, les travaux de construction débutent avec l’édification d’un premier bâtiment de pierre, l’actuel pavillon 1. Cette résidence fut habitée par le sénateur jusqu’en 1961, compte environs 35 pièces qui sont réparties sur 4 paliers. Relativement en même temps, Charles Benjamin fait construire un autre bâtiment à proximité de sa demeure, lequel servira de résidence et de garage (pavillon 3). Le 11 octobre 1921, Charles B. achète de son père la superficie totale du domaine. Durant la même année, monsieur Benjamin C. Howard commence la construction de sa demeure (pavillon 2). La résidence sera complétée en 1923 mais Benjamin Cate ne pourra malheureusement pas l’habiter puisqu’il décède quelques temps avant. Cette résidence de 33 pièces avec serre fut habitée d’abord par Madame Helen Howard, mère de Charles et veuve de Benjamin, puis par le fils ainé du sénateur, Benjamin « Bud » Campbell Howard et son épouse qui y demeurèrent une vingtaine d’années.
Outre ces trois édifices, les Howard font construire d’autres bâtiments dont quelques résidences qui logeront des employés ainsi que des dépendances. Sur le terrain il y avait à l’époque une grange, un poulailler, une cabane à sucre, un terrain de tennis double, un caveau à légumes et une fosse à renards dont il fait le commerce pour la fourrure (la Howardene Registered of Silver Black Foxes).
Vers 1926, Charles B. ordonne la construction d’une autre maison de pierre de 8 pièces la maison du jardinier, avec serre. Cette serre demeure aujourd’hui au même endroit où elle fut construite et a conservé son même solage de pierre et de mortier qui l’apparente de près à la robustesse des maisons environnantes. Le premier jardinier à occuper la fonction est M. Arthur Tardif de 1932 à 1952. Les serres sont vendues à la Ville de Sherbrooke en 1940 pour le prix de $6,500.00. Quelque six ans après la Ville de Sherbrooke fait construire une nouvelle serre ainsi qu’un atelier de travail.
Le 1er janvier 1961, le sénateur vend à la Ville de Sherbrooke la superficie restante de son domaine soit 536,287 pieds carrés, comprenant tous les bâtiments pour le montant de $285,000. Valeur au rôle municipal en 1991 $1,793,000.00 et en 2002, $3,041,200.00 En 1968, on procède à la démolition de la maison du jardinier pour en rebâtir une nouvelle habitation.
Depuis 66 ans maintenant, elle veille sur les Sherbrookois et représente un signe distinctif: la Croix lumineuse du mont Bellevue avait été «bénie» le 29 octobre 1950.
Si l'idée de doter le sommet de la montagne de l'ancien quartier Ouest de Sherbrooke d'une telle structure métallique avait été avancée en 1937, à l'occasion du faux centenaire de Sherbrooke célébré en grandes pompes, elle fut reprise avec succès et dans le temps de le dire dans le cadre de l'Année sainte.
En 1950, faut-il rappeler, le pape Pie XII lance une invitation au monde: ériger dans leur communauté une croix en symbole de paix. Les horreurs de la Deuxième Guerre et du nazisme, où justement Pie XII a joué un rôle controversé dans l'Histoire, étaient encore bien présents dans les esprits.
À Sherbrooke, à l'instigation de Paul Leclerc et de la Ligue des propriétaires, le projet fait boule de neige. Il en a coûté 10 000 $ pour ériger la Dame de fer et en l'espace de quelques mois, plus de 8000 $ avaient été recueillis en souscription populaire; la différence ayant été acquittée par la «Cité» de Sherbrooke.
Source du Texte la Tribune
François Gougeon
La Tribune
La Croix du mont Bellevue
En septembre dernier naissait l’idée de construire une galerie d’art adolescent au coeur de notre institution, l’École secondaire de Bromptonville. Suite à de nombreuses démarches et à la générosité de plusieurs donateurs (le député Guy Hardy, Zone Actu.l, Les Entreprises Éric Dostie, La Caisse populaire Desjardins, Maître Kathleen Gélinas, etc.), notre projet se concrétise enfin.
Le 23 septembre prochain à 16 h, la galerie d’art adolescent L’exposant X vivra son inauguration officielle en présence de nombreux dignitaires. Dans le cadre d’une collaboration initiée par Jeunesse Active Brompton (JAB) et la Maison des arts et de la culture de Brompton, L’exposant X vous présentera l’exposition DÉTOURS PAR BROMPTON. En compagnie du photographe professionnel Jean-François Dupuis, les jeunes photographes ont arpenté les rues de l’arrondissement de Bromptonville pour capter ses personnages, ses paysages et ses ambiances. Ils vous présentent, par cette exposition, une partie de leurs trouvailles. Du 23 septembre au 23 décembre 2016, du lundi au vendredi, de 8 h à 17 h, il vous sera possible de faire un petit détour pour contempler le travail réalisé.
Les jeunes photographes ont été invités à s’inspirer du « style JF Dupuis » et à sortir du cadre en expérimentant de nouveaux points de vue. Lors des parcours empruntés en compagnie de leur mentor dans les rues de Brompton, ils ont dû prendre le temps de s’intéresser à tous les endroits auxquels on ne prend pas toujours la peine de s’arrêter. De plus, ils ont eu la chance de rencontrer des gens qui ont une place significative dans la communauté et qui leur étaient jusque là inconnus. Leur côté artistique, mais aussi « fonceur » a été exploité au maximum dans le cadre de ce projet!
Jean-François Dupuis travaille principalement comme photographe illustrateur dans le domaine de l’édition. Les illustrations photographiques lui permettent de gagner sa vie, mais à l’instar du chercheur en quête de connaissance pour son seul plaisir, il explore sans cesse les techniques qu’offre la photographie. Il synthétise ses images par expérimentation, et avec l’esprit d’un aventurier. Ce qui l’emballe énormément est de capturer l’essence et le caractère des ambiances photographiques.
Source :
Barbara Meilleur, Enseignante d’arts plastiques et administratrice de la Galerie L’exposant X.
L’exposant X est un lieu de diffusion professionnel qui permet à de jeunes artistes adolescents et à des artistes professionnels de mettre sur pied des expositions contemporaines et de les présenter au public.
Détours par Brompton
Amalgam est un festival gratuit qui vise à célèbrer l’art urbain sous toutes ses formes, à travers une démarche communautaire.
Il s’agit d’une plateforme d’expression unique pour les artistes d’ici et d’ailleurs, ainsi qu’une occasion inouïe pour les commerçants et les propriétaires d’immeubles de participer à l’embellissement de leur centre-ville.
Vive les matchbox
Un peu d'histoire
Le nom Matchbox apparaît en 1953 comme marque de la société britanique de jouets Lesney, fondée par Leslie Smith et Rodney Smith. Les deux hommes n'étaient pas de même famille, malgré leur nom commun. Ils étaient amis d'école et avaient servi ensemble dans la Royal Navypendant la seconde guerre mondiale.
L'entreprise est née, lorsqu’un collaborateur des Smith, John Odell, appelé « Jack », fabrique une miniature pour sa fille pour que celle-ci puisse facilement l’emmener à l’école. La miniature est fabriquée à l’échelle d’une boîte d’allumettes.
Les jouets Matchbox étaient ainsi appelés parce qu'à l'origine les modèles étaient emballés dans des boîtes semblables à des boîtes d'allumettes. Le nom Matchbox, est devenu le nom générique pour toute miniature mesurant approximativement 2,5 pouces (6,5 centimètres) de long, indépendamment de la marque. Dans les années 70, la boîte d'allumettes a laissé place au classique emballage, plastique et carton, utilisé par les autres marques, telles que Hot Wheels Le conditionnement en boîtes d'allumettes a été récemment réintroduit pour le marché des collectionneurs.
L'usine Matchbox/Lesney était une entreprise importante à Homerton, Londres.
La société Lesney a fait faillite le 11 juin 1982. Les biens de la société ont été vendus et revendus, et finalement ont été achetés par Mattel, fabricant des Hot Wheels.
Source web
http://www.matchbox.com/